Johnny HALLYDAY

L'un des meilleurs chanteurs français, une voix inégalable, l'idole des jeunes, une discographie dont la richesse n'a d'égale que celle de Zarach baal tharagh... Je conseille pour ma part de retenir surtout la période de sa carrière commençant à partir des albums country fin des années 60 jusqu'au début des années 2 000 qui compte pas mal d'albums tous plus excellents les uns que les autres

Mon père est fan donc je connais presque tout par cœur à force d'entendre. Et je dois dire que j'aime énormément, mais plutôt les moyen vieux. xD

Hilfmir bannis le avant qu'on devienne Kéké Metal France.

Non. C'est kewl Johnny.

il a une sacré voix le vieux on peut pas lui enlever ça

Je savais pas que tu aimais Johnny Hilfmir !
C'est cool, entre Halford et ça, je me sens moins con
Faudra quand même un jour que tu comprennes PoP 2 mais ça viendra avec le temps si t'es un vrai  

PoP 2, pour moi, c'est celui dont j'avais la démo dans les années 90, en 2D.

XD PD

Bannis toi toi même sérieux, tu crache sur PoP WW et t'aimes Johnny.

Je me range du côté de panzer pour le coup.

BAGARRE.

De la vraie baston de bikers, pas des pogos d'untermenschen qui écoutent bring me the horizon, je vous préviens

Unth a écrit:

Je me range du côté de panzer pour le coup.

BAGARRE.

BAGARRE SUR DU BON SON GROOVY OUAIS

Vous méritez le ban, bande de scélérats. C'est moi le maître, ici. Mouhahaha.

Bref, retournons au sujet svp, ça fait pas sérieux là.

Cette chanson



  

Écoute cette chanson Hilfmir, je viens de la découvrir, c'est juste I-N-C-R-O-Y-A-B-L-E

Bah celle-là pour le coup je la connais depuis bien longtemps ^^

Étant quelque peu bourré, j'ai produit une analyse conceptuelle de Johnny Hallyday dans sa période actuelle: Pourquoi Johnny, son rapport au monde, que m'apporte-t'il en tant qu'individu ?

Johnny, certains l'aiment. A part ça, c'est un homme comme les autres, il cherche le bonheur et ce qu'il trouve, c'est beaucoup d'emmerdes et peu de joie. Et même aucune, je le parierais. Son histoire, c'est celle de sa soumission à autrui.
Avec autrui, c'est la guerre. L'un des deux doit céder, le plus faible, moi. Le moi se soumet et fait ce que l'autre lui dit. Comme ça c'est réglé, il n'y plus de problème, c'est l'Un. Le politique, c'est la question de l'Un, la religion c'est croire en l'Un, l'art le rend "sensible" comme s'il était là et... l'économie ramène tout à lui (principe d'économie ou le rasoir d’Ockham).

Johnny chante. Il s'intègre de la sorte. C'est quand il chante qu'il est intégré. Il est le moyen de ce chant et quand le silence arrive (fatalement), il cesse d'être intégré, il lui faut chercher autrui, de nouveau, pour se soumettre à lui ou bien pour le nier. Bref pour en finir de cette situation angoissante. Que veut autrui ?

Et moi, qu'est-ce que je veux ? Je veux qu'autrui m'aime inconditionnellement. Pour ce faire, tantôt je me soumets à lui et je chante, et je deviens un "moyen" une condition de son supposé plaisir, tantôt je le nie comme autrui (celui qui veut) en le transformant en un "moyen" d'obtenir du plaisir, un simple bout, la part perdue selon les Anciens.